La réalité de l'alimentation des jeunes

Diapo_ALIMENTATION_oral

L'acte de manger en famille à tendance à se perdre avec le temps. La coutume du traditionnel repas familial où tout les membres de la famille mangent autour d'une même table pour partager la même nourriture. Le repas ne doit pas être une contrainte, pris en 5 minutes, il doit être conviviale, pris dans une ambiance tranquille. Pour que l'homme et plus précisément l'enfant ressente la satiété au cours du dîner, il faut que celui ci dure au minimum une vingtaine de minutes afin que l'estomac envoie le signal jusqu'au cerveau. Il faut donc apprendre à l'enfant à sentir quand il a réellement faim, quand il n'a plus faim également. Pour que son apprentissage de l'acte de manger soit le plus complet et bénéfique pour lui, il est bien également de lui faire assister à la préparation des repas. Il peux faire les courses avec vous, la cuisine, la présentation de la table et des aliments. Toutes ces étapes lui permette de de mieux connaître et d'apprécier toute les facettes des fruits et légumes mais également des viandes, pâtes et autres aliments. Des pédiatres conseillent aux parent de faire d'abord sur eux ce qu'ils veulent que leurs enfants fasse, par exemple, manger diversifié ou encore faire du sport pour s'entretenir. Le parent est le premier modèle de l'enfant, c'est pourquoi il va essayer tant bien que mal de s'identifier à vos actes et de les reproduire. Donnez lui donc le bonne exemple.

Cet article est interessant à lire, il est en lien avec l'acte de manger et faire la cuisine en fonction de son appartenance social, ethnique et de ses coutumes. Le fait de la transmission des savoirs culinaires y sont longuement exposés et développés : http://www.lemangeur-ocha.com/fileadmin/images/sciences_humaines/FLorence_STRIGLER_COLLOQUE_faire_la_cuisine_05.pdf

Le ministère de la santé et des sports augmente le nombre d'intervention de diététicienne dans les écoles, surtout les maternelles afin d'apprendre aux jeunes enfants diverses choses éssentielles. Ils découvrent les familles des aliments, leurs bienfaits mais aussi leurs mefaits. Des jeux ludiques leurs permet d'assimiler certaine notions pour une alimentation saine et équilibré. Les enfants s'amusent tout en faisant les courses, ils prennent des reflexes dans le choix de certaine catégories d'aliments, il leurs est enseigné de limiter la consommation d'aliment sucré, gras. L'avantage sera même double, ils vont pouvoir changer l'alimentation de leurs parents qui ne consomment pas forcément dans la norme recommandé. Durant les interventions des diététiciennes, on leurs conseillent de pratiquer du sport en plus d'une alimentation équilibré afin de lutter contre l'obésité, les problèmes cardiaques et d'autres maladies liées. C'est en éduquant les enfants dès leurs plus jeune âge que nous pourrons prévenir les mauvaises habitudes alimentaires qui causerons de grâve problème de santé.

http://www.ina.fr/sciences-et-techniques/medecine-sante/video/2579327001021/campagne-dietetique.fr.html

Cette photo résume bien le génie des industries agroalimentaire qu'il déploie pour appater nos enfants. Sur cette image, chaque aliment présent dans les fast food et qui représente la malbouffe sont personnifiés. Chacun d'eux possèdent un visage (des yeux, un nez, une bouche) heureux, avec un grand sourire. Les enfants sont comme hypnotisé par ces visages là, ils les reconnaisent, les apprécient, les veulent. Et c'est bien là le souci, c'est que l'enfant s'identifie à ces personnages, ils veux aller jouer avec, mais où sont - ils? dans les fast food. Comment les obtenir? en commandant un menu, les jouets sont en cadeau. Et de la commence la spirale infernale de l'alimentation abondante en sucre, sel, graisse. Ce phénomène est moins marqué en France qu'au Etats-Unis mais cependant il prend de plus en plus d'ampleur. Dès le plus jeune âge, l'enfant est exposé à ce type d'alimentation surénérgétique, elle en péril sa santé sans même que les parents s'en apperçoivent pour certain.

Nombreuse sont les campagnes de sensibilisation qui se déroule partout en France. Leur démarche et leur slogan sont différents mais tous cherche à inciter le consommateur à une alimentation plus saine, équilibré. Pour cela, des journées de dégustation de fruits et légumes locaux mais aussi exotique sont à disposition des passant dans les marchés. Tout les diététiciens sont affirmatif la dessus, il faut diversifier son alimentation en mangeant des fruits et légumes à tout les repas et presque sans limite. Ils apportent de nombreux bénéfices (vitamines, fibres, minéraux ...) qui luttent efficacement contre les maladies cardio-vasculaires, les cancers ainsi que d'autre pathologies encore. Un des freins à la consommation de fruit et légume et sans doute le prix de ceux ci, pour certain il s'envole et les consommateur soucieux de leur santé mais aussi de leur porte monnaie font le choix de prendre au moins cher. La qualité n'est pas toujours au rendez vous dans ces cas la. Les enfants interrogés dans certain sondage révèlent un problème récurent dans leur éducation alimentaire. Ils mangent que très peu de fruit et légume, soit car leur prix à l'achat est trop élevé pour le salaire des parents soit parce qu'ils n'ont pas eu une éducation les habituants à en consommer réguliérement. En revanche si on leur demande s'ils mangent des frites et autre produits vendu en grande partie dans des chaines de distribution alimentaire tel que les fast food, ils répondent oui sans hésitation. Un des problèmes qui peut être soulevé est celui des repas qui sont pris en dehors du foyer familiale, à l'école par exemple.

Vidéo de la campagne des 5 fruits et légumes : http://ha.ina.fr/video/2399508001030/campagne-fruits-et-legumes.fr.htmlcampagne-fruits-et-legumes.fr.html

Vidéo de la semaine de la fraich attitude : http://ha.ina.fr/video/2836929001005/bercy-la-semaine-de-la-fraich-attitude-promotion-des-fruits-et-legumes.fr.htmlbercy-la-semaine-de-la-fraich-attitude-promotion-des-fruits-et-legumes.fr.html

Une directrice d'école souhaite établir dans son établissement des cours de cuisine pour les enfants scolarisés. Ils auront un total de 8 cours sur l'année sachant que ces cours se déroulerons pendant tout le début de scolarisation des enfants, soit 8 ans. Un sous chef d'un restaurant vient à l'établissement pour donner des cours de cuisine élémentaire aux enfants, tel que faire une tarte au pomme. Les jeunes peuvent ainsi participer à toute les étapes de la conception de plat basique mais essentiel. La directrice compte bien réaliser ce projet de cours à l'école le plus longtemps possible même si cela coûte assez cher. Ils n'apprennent pas seulement à cuisiner durant ces séances, ils mettent également en pratique des aspects de matières enseigné à l'école tels que les mathématique (compter les aliments), la géographie (origine des produits) ...

Les cours de cuisine leurs apprend à manger mais aussi à cuisiner. Il y a de forte chance pour que ces enfants prennent de bonnes habitudes alimentaires une fois adulte. Le fait de préparer à manger va être associer au travail d'équipe (élaboration de plat à plusieurs), au plaisir (de cuisiner et de manger) ainsi qu'a la satisfaction de son travail une fois terminé. D'eux même ils réclamerons de cuisiner à leurs parents pour les soulager d'une journée de boulot par exemple, ils serons fier de fier de leurs cuisine. Je trouve que cette méthode de lutte contre la malbouffe est très efficace et donne déja de très bon résultat actuellement.

Vidéo de l'école qui met en place les cours de cuisine : http://fr.video.canoe.tvfr.video.canoe.tv/video/art-de-vivreart-de-vivre/famille/2066643001/cuisine-101-a-lecole-la-mennaisa-lecole-la-mennais/52835508001

Je vous conseil également le site du Monde qui lance des questions réponses sur le sujet vaste de l'alimentation : http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2010/01/26/habitudes-alimentaires-toujours-trois-repas-par-jour-mais-pendant-moins-longtemps_1297054_3238.html

Sonia Lizotte est un coach en alimentation, son métier se résume à apprendre à cuisiner à tout ceux qui veulent apprendre. Elle a réalisé un ensemble d'intervention dans des écoles pour faire découvrir une alimentation saine. Sur cette vidéo, le coach culinaire rend visite à des enfants dans une école maternelle de Repentigny (ville du Québec) pour leur faire découvrir des jus à base de fruits et de légumes. Le but des interventions est de sensibiliser les enfants aux produits du quotidien qu'ils ne goûtent pas forcément d'ordinaire afin qu'ils puissent se familiariser avec ces aliments là qui sont bon pour la santé. Les enfants sont plutôt content d'assister à ces mini cours de cuisine, ils ont soif de découverte, comme le dit Sonia Lizotte "À leur âge, ce sont comme des petites éponges, ils veulent apprendre et ils sont facilement émerveillés".

Ce système de sensibilisation envers une alimentation saine est très intéressante car les enfants utilisent 4 de leurs sens pendant ces interventions, l'odorat, le goût, la vue et le touché. Ils sont donc imprégné par ces nouvelles saveur, texture, forme, couleur. A leurs âges, s'ils prennent des bonnes habitudes alimentaires, il y a de forte chance pour qu'elles soient conservé dans leurs vie future. Les enfants vont faire la différence entre ce type d'alimentation et celui des fast food qui contient uniquement une feuille de salade, une tranche de tomate, un bout de viande et tout sa entre deux tranches de pain. L'ensemble est extremement sucré contrairement aux fruits et légumes qui sont découvert dans les interventions alimentaires qui regorge de goût et de plaisir pour les papilles.

Pour voir la vidéo sur ce site : http://www.hebdorivenord.com/article-270041-Des-ateliers-pour-bien-manger.html#comment

Je souhaiterai vous retranscrire cet extrait des "règles déontologiques du BVP" (Bureau de Verification de la Publicité) qui nous indique les recommandations liées aux enfants sur les comportements alimentaires. Ces règles s'adressent aux industriels qui diffusent des publicités alimentaires mais également aux parents pour une des règles.

Lorsque la publicité évoque ou représente un comportement alimentaire, elle ne doit pas encourager des comportements     qui seraient contraires aux principes alimentaires couramment admis en matière d'hygiène de vie.
    Consommation excessive
    La publicité ne doit pas inciter les enfants à une consommation excessive d'un produit. On entend par incitation à une consommation excessive le fait, par exemple, de représenter un enfant consommant un produit sans retenue ou dans des quantités déraisonnables.    
    N'est en revanche pas visée l'expression de satisfaction et de plaisir liée à la consommation d'un produit.

Grignotage
La publicité ne doit pas inciter les enfants à s'alimenter de façon inconsidérée tout au long de la journée.    
    A titre d'exemple si la représentation de la consommation d'un aliment lors ou à l'issue d'une activité physique est légitime, celle d'un comportement de grignotage associé à l'inactivité physique n'est pas admise.
    Le grignotage ne doit pas être présenté comme substituant à un repas.
    Référence aux parents
    La publicité ne doit pas dévaloriser ou minimiser l'autorité ou les conseils des parents en matière de consommation des produits, ni suggérer leur démission.
Équivalences et comparaisons nutritionnelles
    Dans les cas où sont présentées des équivalences nutritionnelles entre produits alimentaires, celles-ci doivent être nutritionnellement pertinentes (par exemple porter sur des nutriments communs, présents en quantité significative).
    La présentation des équivalences ne doit pas inciter à des substitutions entre catégories, notamment en suggérant que les bénéfices de deux produits comparés sont globalement équivalents.
    Présentations maximalistes
    La publicité ne doit pas suggérer que la seule consommation d'un produit induit une performance optimale ou la réussite maximale dans une activité notamment artistique, scolaire ou sportive.

Pour consulter le reste du site qui regorge d'informations : http://www.sante.gouv.fr/htm/pointsur/nutrition/actions324.htm

Food inc est un documentaire de Robert Kenner traitant le sujet des industries alimentaires aux Etats Unis. De nombreux aspects habituellement cachés des chaînes des industries ont été mis au grand jours dans ce documentaire.  On peux grâce à ce film voir les géants de l'alimentation contrôler un territoire bien plus grand que celui de l'agriculture uniquement. Divers agriculteurs et employés dans des industries de transformation nous ouvrent les portes sur les dessous de la production. On peut y voir les conditions sanitaires plus qu'exécrables dans lesquels les aliments sont produit, tué, transformé pour arriver dans nos rayons de super marché. Ce sont très souvent des clandestins sans papiers, sans expériences qui travaillent dans le domaine de la transformation. Les rois des fast food et les gros semenciers ainsi que d'autres directeurs important de ce domaine sont étroitements liées aux administrations américaines, c'est pourquoi personne ne bouge le moindre petit doigt face aux nombreux problèmes rencontrés en ingurgitant cette nourriture (obésités, maladies cardiaques, contaminations bactériennes, ...). Il y a également dans ce documentaire de nombreux interviews de personne ayant rencontré des problèmes en se nourrissant de ces aliments. Celui qui m'a le plus marqué fut celui d'une mère qui raconta que son fils mourra du fait de la présence d'agents pathogènes (bactéries E. coli) dans un simple hamburger qu'il avait mangé. Aux Etats Unis, le prix d'un hamburgers est environ deux fois moins chers que celui d'un légume, c'est pourquoi l'obésité et les soucis de santé liés avec, se multiplie à une vitesse exponentielle.

Cet immense business au profit des industries alimentaires n'est pas aussi développé en France même si de nombreux fast food américain y sont implantés et que les semences Monsanto tiennent à la gorge certains agriculteurs. Il est encore possible de lutter contre cela, il suffit de faire les bons choix dans les zones commerciales en examinant le lieu de production, les conditions, le prix ... Tout ces efforts vont préserver la santé des hommes et surtout celle des jeunes qui est bien plus fragile.  A TABLE !

En lien direct avec les pesticides, les produits chimiques en général introduit dans la production, je vous conseil de regarder cette vidéo ainsi que de lire l'interview de William Reymond, journalist français d'investigation installé aux Etats-Unis qui dénonce l'ensemble de l'engrenage des industries agro-alimentaire : http://luc.verstraete.over-blog.com/article-sante-obsesite-malbouffe-tout-est-lie-toxic-de-william-reymond-44761454.html

Cette photo fait partie des nombreuses photos contenant un message "mangez 5 fruits et légumes par jour" incitant une alimentation plus équilibré. Lancé par le ministère de la santé, de la jeunesse, des sport et de la vie associative et l'Institut National pour l'éducation et la santé (INPES). Elle est parfaitement bien réalisé pour les enfants, il y a des couleurs variées, rose pour les filles, vert pour les garçons. Les enfants peuvent se reconnaître dans cette affiche publicitaire grâce à la petit fillette avec un grand sourire qui porte un panier de fruits et légumes, elle leurs montre l'exemple à faire. Quelques aliments sont représentés dans l'affiche, tel que des fraises et des pommes qui sont des fruits bien apprécié des enfants mais aussi des carottes et brocolis qui sont eux bien moins aimés. Mais le fait que tout ces fruits et légumes soit mis tous ensemble sur une photo, avec plein de couleur attirante va permettrent à l'enfant de les adopter et de les apprécier pour leurs formes, leurs couleurs par exemple. Selon des études, seul 20% des enfants de 3 à 17 ans mangent 5 fruits et legumes par jour, c'est très peu et cela pose de vrai probleme de santé. C'est pourquoi le ministère se bat pour atteindre cet objectif et valoriser la notion de plaisir en consommant fruits et legumes.

http://www.agevillage.com/actualite-1864-1-Sante.html